Un éditeur, en Allemagne, a trouvé un filon pour se faire du fric, et en tout cas un coup de pub magistral : rééditer Mein Kampf d'Hitler, sous forme de brochures hebdomadaires, un peu comme un feuilleton. Et il a fait cette annonce à l’occasion du 70e anniversaire de la Conférence de Wannsee qui a orchestré, comme on le sait, la Solution finale. Donc, sur le plan marketing, on ne peut dire que bravo !
Voilà un conte de Noël comme les médias en raffolent : à Liège, de généreux mécènes, qui sont restés anonymes, ont donné à une association « Sans Logis » une somme de 3 millions d’euros pour la construction d’un nouveau bâtiment pouvant accueillir 64 sans-abri.
« Dexia victime de la crise de la Zone Euro ». C'est en entendant pour la dixième ou la vingtième fois cette phrase, crise de la Zone Euro, que je me suis fait la réflexion, journalistes, politiques, financiers et syndicalistes se disputent au sujet de cette crise, sur ce qu'il faut faire pour sortir de la crise mais tout le monde, de droite comme de gauche, tout le monde s'entend pour identifier ce que nous vivant comme étant une crise, la crise.
Comme conscience pratique, la conscience humaniste est libératrice : elle est l’aiguillon de toute critique politique des rapports de domination et d’aliénation. Mais comme conscience théorique, la même conscience humaniste est mystificatrice : elle érige l’Homme en figure de légitimation des mêmes rapports de domination et d’aliénation. Article paru dans "Espace de Libertés", avril 2012.
Le 8 mars 2011, le Centre International d’Etudes de la Philosophie Française Contemporaine (dirigé par Frédéric Worms) de l’Ecole Normale Supérieure (Paris) organisait une table-ronde avec Axel Honneth, Guillaume Le Blanc et moi-même sur le thème "Conditions et expressions de l’expérience morale. La subjectivation morale des luttes. Autour d’Axel Honneth".